Les idées reçues concernant le syndrome de déficience numérique
Voici quelques idées reçues concernant l’impact de l’utilisation excessive des écrans sur la vision : alors vrai ou faux ?
SDN, il s’agit du Syndrome de Déficience Nocturne ?
FAUX. Les 3 lettres de SDN signifient Syndrome de Déficience Numérique. Ce sont des symptômes occasionnés par l’utilisation trop importante d’écrans trop petits et trop près.
Le syndrome de déficience numérique : le mal du siècle
VRAI. Oui, le syndrome de déficience numérique est le mal du siècle ! En effet nous avons tous un portable, nous utilisons nos téléphones trop souvent, beaucoup trop longtemps et dans des conditions inconfortables qui ne sont plus naturelles.
On parle assez du syndrome de déficience numérique
FAUX. On ne parle pas assez du SDN et quand les personnes vont consulter un spécialiste parce qu’elles souffrent de certains symptômes, c’est trop tard ! Plus le syndrome de déficience numérique est détecté tôt, plus les solutions sont efficaces.
On peut détecter seul un SDN
On se soigne seul du syndrome de déficience numérique
FAUX. Les raisons qui provoquent un SDN sont multiples et doivent faire l’objet de tests réalisés par des experts. Chaque personne ne va pas développer les mêmes symptômes, il faut qu’un professionnel de la santé visuelle définisse la faiblesse visuelle précise, la fonction visuelle impactée par le SDN pour trouver la solution adaptée. Il n’y a pas qu’une solution pour se débarrasser du SDN, il y en a plusieurs mais il faut trouver l’origine exacte du trouble à traiter.
Un Expert en Santé Visuelle peut apporter des solutions au SDN.
VRAI. Un opticien est un expert en santé visuelle. il a été formé et possède donc les compétences pour détecter le syndrome de déficience numérique. Auprès de ces professionnels, le client peut bénéficier de tests qu’il ne trouvera pas ailleurs.
À plus de 65 ans je suis menacé par le syndrome de déficience numérique ?
VRAI. La maturité du système visuel ne protège pas de la luminosité. L’oeil a même tendance à perdre sa transparence et sa transmission avec l’âge. À plus de 65 ans, les personnes sont plus sujettes à l’éblouissement donc plus impactées par une trop longue exposition à des lumières trop fortes.